octobre 16, 2025
Le 16 juin dernier, je publiais un épisode de podcast où je disais que ma vision du slowpreneuriat s’affirmait davantage. Et aujourd’hui… je vous annonce que j’arrête d’utiliser ce mot. 😬
Oui, oui. Ce mot qui m’a accompagnée pendant trois ans, qui a façonné ma communication, mes accompagnements, ma posture même d’entrepreneuse…
C’est un petit tournant, un peu fou, mais que je souhaite vous expliquer.
Mes réflexions ont commencé en mars 2023. Ça faisait environ six mois que j’avais bifurqué vers cette voie de l’accompagnement au slowpreneuriat… et je recevais des tonnes d’objections : “oui mais moi je veux vivre de mon activité”, “j’ai pas envie de ralentir ma croissance”, “tu devrais donner des chiffres : x€ de CA en 25h par semaine par exemple”
Mais moi, je n’ai jamais eu envie de ça. Je ne suis personne pour dire combien tu dois gagner ou combien d’heures tu dois bosser.
Ce que je veux, c’est que tu vives bien. Confortablement. Sans anxiété. Sans courir après toujours plus.
Et, à ce moment-là, je lisais un roman qui m’a profondément marquée : Paresse pour tous d’Hadrien Klent. Ce livre m’a donné envie de militantisme, d’assumer un positionnement à contre-courant, presque révolutionnaire. Le mot slowpreneuriat est alors devenu volontairement mon étendard.
Mais petit à petit… je me suis épuisée. Épuisée de devoir sans cesse expliquer que non, le slowpreneuriat ce n’est pas être au ralenti.
C’est redéfinir ses propres règles.
C’est se demander : “derrière quoi je cours, en fait ?”
C’est rompre avec les injonctions à la productivité, à la performance, au “toujours plus vite”.
Et cet été, pendant mon voyage au Québec, j’ai commencé à rêver d’autre chose. Je me suis mise à parler de flow, d’entreprendre au gré des vagues.
Parce qu’au fond, l’entrepreneuriat, ce n’est pas une ligne droite : c’est un cycle, avec des hauts et des creux. Et moi, mon rôle, c’est d’aider les indépendants à trouver de la sérénité même dans les creux, et à capitaliser sur ce qui fonctionne quand la vague remonte.
Quand j’en ai parlé autour de moi, on m’a dit : “flow, ça fait un peu spirituel, pas très structuré”.
Et c’est vrai. Même si l’énergétique et la spiritualité font partie de ma vie, mes accompagnements reposent aussi sur des bases très concrètes : structure, stratégie, plan d’action.
Puis, fin septembre, j’ai passé 48h à la Maison des Créateurs avec Thomas Burbidge, qui est devenu mon associé pour deux jours. Et là, déclic monumental. Il me dit : “mais Clem, t’as déjà créé ton mot. C’est les Optimalistes.” Bah oui, en fait.
L’optimalisme, c’est l’équilibre parfait entre optimisation et optimisme. C’est aussi une touche de minimalisme, tout ce que je défends depuis le début.
Et puis, ça tombait sous le sens : j’avais déjà envie de développer la marque Les Optimalistes. C’est ce qui s’appelle : ne pas voir que c’était là, sous mes yeux, depuis le début. 🥲
Quand j’ai annoncé ce changement sur Instagram, j’ai reçu des dizaines de messages. Des messages qui m’ont émue aux larmes. Des “ça te correspond tellement” ou “ça rayonne, c’est toi, en fait”.
Une nouvelle era est née. Celle où je vais vous parler d’optimalisme. C’est à dire :
Ce changement m’a redonné une énergie folle. Comme un nouveau souffle.
Je prépare une nouvelle identité visuelle, des photos pro (ça y est, fini les selfies après 5 ans 😂) et je reconstruis mon écosystème d’offres.
L’objectif d’ici la fin de l’année :
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Merci d’être là, de me suivre, de croire en cette aventure. L’histoire des Optimalistes ne fait que commencer. 💛
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